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quelle était verte ma vallée

7 décembre 2016

La commune nouvelle selon Me Bougraud ...

Une idée partie d'au moins trois choses ; - L'ensemble des lois (de 2010 à 2015) de Sarkozy et de Hollande , deux grands personnages de droite dure, dont les 3 épisodes faisait un ensemble de loi non obligatoire qui permettait le regroupement de plusieurs communes de tailles limitées, tant en territoire qu'en nombre d'habitants. Dès lors, ces nouveaux territoires devenant exponatiels (donc permettant des nouveaux espaces construtibles en nombre, en lots et en parcelles de toutes sortes, habitations et commerçiaux, donc presque illimités). Quant aux services publics adéquates, cela restait flou, sans doute à mettre en place suivant les besoins des nouvelles populations d'arrivants, (donc avec inertie !) avec au passage un redéployement de ces services aux entreprises privés lucratives au détriment des sevices publics quoiqu'on en dise, c'est à la mode !

- Quant à l''aspect finacier pour les finances locales, appelé aussi carotte, étant limité dans le temps et dans les montants pouvait faire croire à une bonne opération si cette nouvelle grande commune se faisait avant le 1 janvier 2017, d'ou l'urgence de la prise de décision et la mise en place rapide et sans consultation des citoyens résidents. En réalité cette "mauvaise bonne" opération courait sur seulement 3 ans et les montants seraient limités ! Et puis surtout, Lardy ayant fait le même choix de "schinter l'avis des gens" pour faire oublier sa dette énorme pour dédit lors de son choix de se séparer de son ancienne communauté de communes de L'Arpajonnais pour "Juine et Renarde", d'ou la précipitation de "faire passer en douce" cette dette sur les soit disant nouveaux avantages "dixit la loi" et de la répartir sur l'ensemble de la nouvelle commune, donc aussi sur les populations absorbées. Un camouflé !

Et surtout ; - L'avantage financier pour le ou la nouvelle Maire et ses adjoints de cette nouvelle grande commune. Ceux-ci auraient vu leurs rémunérations sensiblement augmentées. Ces"ajustements fianciers" sans cesse grandissants de nos élus de tous niveaux restent un tabou, donc chut ! En revanche, ceux de la population s'amoindrissent au fur et à mesure du temps qui passe !

Est-ce le principe des vases communiquants, mais en cascade inversée ? Ce qui est impossible en physique, mais possible en politique !

Qu'à cela ne tienne, les habitants qui ont quand même étaient à l'école, "vive la République et son école laïque et obligatoire", avaient bien vu venir le loup à pas feutrés, reconnaissons qu'il avait mis ses gros sabots de bois !

Et surtout là encore, "vive l'instructon et le bon sens", cetains élus de Lardy ont tout de même réfléchi "en leur âme et conscience" et sans doute aussi au vu et su de la mobilisation des habitants concernés, et le doute leur pesait "sur le pour et le contre des avantages et des inconvénients" pour voter à une courte majorité, 15 sur 29, pour une mise hors jeu de cette pantalonade de nantis jamais satisfaits pour eux-mêmes.

Quant aux élus de Bouray qui avaient voté d'une "seule main" pour effacer leur commune, ils en sont pour leurs frais et sont désormais voués à la critique non feutrée de leur population qui semble aussi satistaite de la tournure de cette affaire.

Janville et Torfou avaient quitté ce pédalo bancale qui dès le départ prenait l'eau. Pour Janville la population semble satisfaite de la décision sage, réfléchie et rapide de sa Maire de ne pas monter sur ce rafiot. Quant à Torfou, il semble que la municipalité qui n'a rien compris à l'affaire, semble voguer vers d'autres "mares à canards" en espérant que ces administré(e)s n'en ai pas "marre" de ces retournements hasardeux et antidémocratiques.

Pour terminer, et pour ma part, je trouve ces affaires qui passent au-dessus des populations concernées sans être consultées sont d'un autre temps, du temps de l'ancien régime qui a mené le peuple à se révolter. Mais toute l'Europe d'aujourd'hui est ainsi constituée, il semble que nos élus d'ici ou d'ailleurs considèrent que la démocratie soit devenue un simple mot, une définition lointaine, un souffle sans doute, mais surtout un truc qui les empêche de faire comme bon leur semble ! C'est un déni ! Mais attention, quant un peuple en a trop subi, il se met en colère et les colères des peuples sont sans appel et sans modération. Il ne faut pas dépasser les bornes des limites Mesdames et Messieurs qui pensaient à tord que tout vous est dû dès lors que vous êtes élu(e)s, que tout vous appartienne, y compris la vie des autres ! Bonne soirée à toutes et à tous et à bientôt.

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